Mieux vaut le savoir ....

Un chocolat qui fait fondre les kilos




Une idée qui semble trop belle pour être vraie: un chocolat qui vous aide à perdre du poids. Ses fabricants en sont pourtant persuadés!

Le chocolat Lola contiendrait des éléments chimiques qui trompent votre cerveau en lui faisant croire que vous n'avez pas faim, ce qui vous empêche de trop manger. Ils auraient apparemment le vrai goût du chocolat mais sont recouverts d'une étrange croûte verte.

Ces friandises sont fabriquées par une entreprise espagnole, Cocoa Bio, et ont été dévoilées au public lors du Salon du chocolat de Madrid. L'un des créateur, Armando Yanez, explique: "Les gens devraient manger un ou deux de ces chocolats une heure avant le repas. Ils auront moins faim, ce qui les empêchera de trop manger ensuite. C'est un chocolat au goût intense et qui contient de grandes propriétés anti-oxydantes".

L'enveloppe verte s'explique par la présence de suppléments de régime comme la spiruline, une algue microscopique avec un haut niveau de nutriments tels que les vitamines 1 et B12, qui influence aussi la perte de poids.

Les fabricants ajoutent que les acides aminés contenus dans la recette stimulent la production d'une hormone qui supprime la sensation de faim. Ces chocolats étaient d'abord destinés exclusivement au marché espagnol mais pourrait être exportés.
Une boîte de Lola coûte environ 5,5 euros.

Ce n'est pas la première fois que les bienfaits du chocolat sur la santé (en particulier le noir) sont mis en avant. En août, une étude parue dans le Journal of Internal Medicine a dévoilé que les personnes souffrant de problèmes cardiaques et consommant du chocolat régulièrement avaient 70% de chances de plus de survivre à une attaque. D'autres études suggèrent que le chocolat noir peut limiter le risque de caillots de sang, protège contre certains cancers et prévient les accouchements prématurés. (ca) 17/11/09 (7sur7)

La grippe H1N1 cause des lésions aux poumons




La grippe H1N1 endommage l'ensemble des voies respiratoires, de la trachée aux alvéoles pulmonaires, tout comme les virus qui ont causé les pandémies de grippe meurtrières de 1918 et 1957, selon une étude américaine publiée mardi.

Des scientifiques de l'Institut national de la santé (National Institutes of Health) et des responsables de la santé de la ville de New York ont étudié au microscope des tissus provenant de 34 personnes décédées des suites de la grippe H1N1.

Ils ont découvert "un éventail de lésions, aussi bien dans les voies respiratoires supérieures que dans les voies inférieures", a indiqué Jeffery Teubenberger, l'un des auteurs de l'étude parue dans l'édition en ligne de Archives of Pathology and laboratory Medicine.

"Ce type de pathologie des tissus respiratoires est similaire à ce qui avait été observé sur les victimes des pandémies de grippe de 1918 et de 1957", a déclaré Jeffery Taubenberger, virologue à l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID).

Dans 9 cas sur 10, les victimes souffraient de problèmes de santé préalables, comme des maladies cardiaques et respiratoires ou une déficience du système immunitaire, ou bien étaient des femmes enceintes, ce qui avait déjà été observé lors de précédentes pandémies.

Mais l'étude met en évidence une nouvelle caractéristique affectant les trois-quarts des victimes: l'obésité. "L'obésité n'avait pas été identifiée lors des précédentes pandémies, et la nature du lien entre l'obésité et la grippe n'est pas claire", souligne M. Taubenberger. (belga/ca)
09/12/09 11h52 (7sur7)